La vie est un desert, habille dun reve.
Chaque desir epuise un peu de mon essence.
La peau de chagrin, miroir des ambitions dechues.
Rever, cest saccrocher a des mirages fragiles.
L’ephemere est la couleur de nos desirs.
Au fond de moi, chaque souhait est une etoile qui seteint.
Lillusion est une douce melodie au rythme de la desillusion.
Chaque souhait est un pas vers linevitable.
La jeunesse, un parchemin quon dessine a lencre des regrets.
Tant de desirs, si peu de temps pour les realiser.
Langoisse retrecit lame, comme la peau de chagrin.
Les reves sont souvent des lanternes sur un chemin obscur.
Le bonheur est un parfum qui sevapore au contact du reel.
A force despoir, le c?ur devient poussiere.
Les v?ux se font echos dans le silence du desespoir.
La vanite est une flamme qui consume le bonheur.
Mon c?ur est un livre dont les pages seffritent.
Le bonheur est une fleche que nous tirons dans lombre.
A chaque desir realise, une promesse oubliee.
Les illusions saccrochent comme des ombres a la lumiere.
Vraie richesse : laisser le desir s’epanouir sans le faucher.
Le temps, complice et voleur, ratatine nos aspirations.
Linaccessible etoile, brillante et cruelle.
Cinderella des desirs, chaque minute me transforme.
Le poids de mes reves est un fardeau devenu plume.
Chaque choix dessine un chemin, mais efface un autre.
La quete du bonheur est une danse au bord du vide.
La fatalite rime souvent avec linnocence perdue.
Les rivieres de desirs ne se jettent que dans des oceans de souffrance.
Les reves sont les artisans de notre solitude.
Le desespoir s’amoncelle comme les feuilles d’automne.
L’ombre de mes ambitions s’etire sous le poids des annees.
Dans le jardin du c?ur, les fleurs fanent sans consciente.
Chaque soupir est une feuille emportee par le vent.
Le desir sessouffle, mais l’espoir vacille encore.
Nous naviguons sur des mers dillusions creees par nos peurs.
La vie prend une couleur fade quand on delaisse ses reves.
Les cendres du passe nourrissent les reves futurs.
Ecrire, cest capturer lephemere dans leternite.
Les cicatrices des desirs, tatouages dune ame errante.
Les etoiles se cachent sous les nuages de nos doutes.
Une vie de desirs inassouvis est une toile sans peinture.
Le ciel est un vaste ocean, et chaque souhait y est une goutte.
Chaque echec est un reflet dans le miroir de la realite.
Les eclats de rire masquent souvent des larmes invisibles.
L’invisible souffrance murmure comme le vent dans les branches.
Les rivieres des reves courent, mais sassechent au labeur.
Le temps se faufile, voleur de nos aspirations.
Dans la melodie de la vie, le silence pese lourd.
Chaque sourire cache une parcelle de chagrin, doux paradoxe.
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